Bon désolé mais j'ai l'article qui déconne et j'arrive pas à le changer. Du coup y'a des passages écris en gris sur noir... Mais bon c'est largement lisible. Encore une fois, Live Report à l'arrache! SUPPORT OR DIE!!!!
« Hier, No Compromise Festival.
L'aventure nous menait hier dans le plat pays pour un festival
sain et décomplexé, propre car jamais effleuré par l'envahisseur hipster
proclamé ou refoulé.
Du vieux patch, du clou, du denim faisaient office d'armures à peine brossées. […]Ce festival est à l'underground ce que la ceinture de cuir est à la violence conjugale : sa baguette magique. »
Du vieux patch, du clou, du denim faisaient office d'armures à peine brossées. […]Ce festival est à l'underground ce que la ceinture de cuir est à la violence conjugale : sa baguette magique. »
Voici ce qu’un ami écrit au lendemain des
festivités organisées par nos gais compagnons David et Christine. Je trouve cela
juste parfait en introduction de ce Live Report, que j’ai un peu hésité à
faire, car j’ai loupé 3 groupes sur 10, mais finalement je me dis MERDE !
Je chronique ce que j’ai vu et c’est marre. Après tout je bosse pas pour un
foutu zine avec une ligne directrice bidon. Et je tiens vraiment à soutenir ce
festival qui reste un fer de lance du metal à l’ancienne. Par là j’entends le
vrai metal qui speed en pleine tronche à grands coups de clous, de cuir et de
sueur éthylique. Pour l’anecdote, le festival a été créé il y a 3 ans pour
célébrer l’anniversaire de mariage de notre couple belge tant apprécié !
Quoi de plus beau comme initiative franchement ?
Après une heure de route, nous arrivons donc en
ce nouveau haut lieu de célébration de la vitesse qui, suite à quelques
démêlées avec la justice du patron de la taverne du théâtre, nous offre une
nouvelle salle. A savoir Le Stock, situé idéalement dans une zone industrielle
en plein centre ville de La louvière. Du coup, plus besoin de payer le
parcmètre, de la place sans problème et surtout, une capacité plus importante
et une acoustique tout simplement parfaite. Alors en ayant fait deux NCMF à la
taverne, j’ai quand même eu un petit pincement de ne plus y retourner, d’autant
plus que le choix des bières est un poil limité de ce fait, mais nous nous
consolerons à coups de Duvel, Westmalle, Cuvée des trolls et autres joyeusetés
houblonnées tout au long de la journée ! Car oui, ce ne sont pas moins de
10 groupes qui viennent fouler les planches du Stock pour 15 balles seulement !!!!
Alors j’espère que le public s’est bougé le cul et a cotisé dans la cagnotte de
soutien au bar ! Parce qu’aussi peu cher pour autant de qualité ce soir, c’est
vraiment donné !
Mais bref, comme d’hab je m’étends plus qu’il n’en
faut sur le sujet, il est temps de tailler en pleine fosse pour te parler des
groupes que j’ai pu voir.
Ça commence avec les allemands de Vulture qui
ne sont pas étranger au NCMF car composés de membres de Wifebeater (ouais ok y’a
que le guitariste en fait). Ces germains officient dans un speed/thrash de très
bonne facture. A peine arrivés (un peu à la bourre, soit, ceci dû à une fille
ayant failli perdre les eaux en plein Carrefour Market) que les mecs ont déjà
démarré (l’heure c’est l’heure ici, au moins on est face à une orga ultra pro
en tout cas !) et j’ai rien compris tellement ça m’a retourné le cerveau.
Parce que quand je te parles de Speed/Thrash, attention, c’est à faire passer
les vieux albums de Kreator pour du Doom. Alors tu as absolument tout ce qui se
fait de mieux dans cette scène condensé dans Vulture. Histoire d’en ressortir
que le meilleur. Je leur ai trouvé un putain de côté Razor (tu sais, les
canadiens ?) sauf que le chant est juste parfait. Bourré d’envolées aiguës
comme il faut ! Impossible de rester statique, impossible de ne pas se
démolir la nuque (la mienne s’en souviendra encore dans une semaine). Et puis t’as
vraiment un truc génial qui s’en dégage (et ça aura aussi été le cas pour
quasiment tous les groupes), c’est ce bonheur de jouer ici, au milieu de 300
personnes passionnées, loin des poseurs et des hipsters. C’est simple, je ne
vois pas tous ces branleurs qu’on croise au détour des salles lilloises. Au
moins ce fest s’adresse aux vrais, les seuls qui savent vivre au sein de cette
scène sans avoir un égo surdimensionné ni l’obligation de devoir s’appeler « métalleux »
(excusez mais j’ai la gerbe dès que j’entends ce terme). Bref, Vulture ont tout
compris et ils n’ont clairement pas une stature de première partie. A suivre !!!
Le temps de faire un petit tour rapide du merch
et des distros (malheureusement j’ai « oublié » de m’acheter des cds,
mais je n’aurai pas dénigré les T-shirts par la suite), ainsi que de casser la
croûte (bouffe peu chère et un choix de pouvoir s’envoyer du Vegan,
malheureusement, les sandwich sont un peu léger, mais disons que c’est pas la
bouffe la priorité ici aha), et c’est à POX de jouer. Un des seuls groupes de
Black Metal à officier aujourd’hui, mais quel groupe ! J’avais déjà eu les
cages à miel titillées par la chronique sympa dans un des récents In Extremis
et leur concert m’auront confirmé l’impression que j’avais d’eux. A savoir un
black qui va bouffer un peu à tous les râteliers mais qui le fait BIEN !!!
Beh oui, faudrait que certains en prennent de la graine parce que se la jouer
orthodoxe ou je ne sais quelle connerie, ça commence à bien faire. Non, là POX savent doser exactement
comme il faut. Entre Black/Thrash, Black plus conventionnel ou passages
Orthodoxes mes couilles (mais sans le côté dissonants si chiants propre au
style), le tout est synthétisé d’une manière vraiment géniale. Bon alors
après, en toute franchise, je les vois pas en tête d’affiche d’un concert non
plus. Mais les mecs démarrent avec POX et franchement y’a de quoi faire quelque
chose de vraiment cool, carré et qui envoi (ce qui est déjà le cas). Ils
repassent d’ailleurs avec Hellish Crossfire et Slaughter Messiah prochainement,
je pense en être ! Puis ce que j’ai particulièrement aimé avec eux, ce
sont ces riffs qui tourbillonnent, te restent en tête et tournent inlassablement
pour te rendre aussi taré qu’un fan de Soral lâché en pleine Barmitzvah. Et
puis ce passage tellement rythmé qu’on se serait cru largué en plein milieu d’une
song de Blacklodge aha. Avec son rythme ultra saccadé, limite techno… Mais je
me comprends et je dois être parmi les seuls (avec monsieur Doomovich) à avoir
entendu pareille référence éhé. En résumé : un groupe qui sait allier à la
perfection tout type de Black Metal qui tâche sans tomber dans l’auto-parodie.
A suivre également…
Je profite des 30 minutes entre les groupes
pour aller à la recherche de quelqu’un auprès de qui je dois récupérer le
magnifique T-shirt de Wallifornian Degeneraiton (dont je te parles assez régulièrement
sur ce blog d'ailleurs) avec la tronche à L’embrouille dessus éhé. Un T-shirt
juste parfait ! J’en profite aussi pour préciser que ces pauses de 30
minutes sont tout simplement parfaites. Je ne te raconte pas les trips, les
discussions passionnées (le batteur de Lord qui me parle même de l’évolution du
groupe au fil du temps) et les bières éclusées durant ces laps de temps. Je
pense sincèrement que c’est la durée parfaite pour profiter un max à la fois de l’ambiance
et des concerts.
C’est donc au tour de Tentation de se produire
sur scène. J’en attendais beaucoup du seul groupe français de cette date et
dire qu’ils ne m’ont pas déçu serait un doux euphémisme. Les pyrénéens
officient dans un vieux heavy français avec tout son lot de clichés
kitschissime qui me font adorer ce style. Les mecs ont été bercés à grand coup
de Blaspheme et ça s'entend ! Tout en étant carrément plus pêchu et
couillu. Tu rajoutes à ça des riffs pas loin de rappeler Maiden par moment et
tu obtiens un cocktail détonnant où t’as l’impression d’être propulsé en mode
Kung Fury en plein 80’s. Je n’ai pas connu ces années, n’étant pas encore dans
les gonades reproductrices, donc je vais pas faire mon faux nostalgique, mais
un truc pareil ça te donne envie d’aller faire un tour dans le passé
aaaaaaarrrrrgh !!!! Du pur concentré d’hymnes en plus, à tel point que,
sans connaître une seule chanson je me surprend à scander les refrains tel le
chevalier aviné beuglant pour libérer sa terre des sarrasins. Rien que L’épreuve
du sang et Valhalla qui te foutent une mandale en pleine tronche, mais aussi
cette reprise de H-Bomb qui aura fini de nous achever. Perso, j’ai vraiment
plus de cervicales là. Une bien belle claque qui confirme bien la passion qui
transpire de chaque pore de la salle,animée elle aussi de cet engouement rétro
ultra présent et la magie ainsi que le dévouement de ses organisateurs toujours
prompts à nous sortir des groupes tous plus passionnants les uns que les autres.
J’insiste, (et dans d’autres Live report aussi), mais bordel soutenez David et
Christine ! Le dernier fer de lance du metal à l’ancienne qui se bouge
bien le cul en Belgique et même dans le Nord !!!!!!
En bref, pour Tentation, si t’aimes le vieux
Heavy et les trucs comme Blaspheme, fonce te soumettre à l’épreuve du sang,
celui qui coule dans tes veines mais macère depuis les années 80 pour
bouillonner de cet esprit passionnel et tellement kitsch, jusqu’à te faire
transpirer de l’hémoglobine sur tes vieux instrus poisseux !
Et justement, le temps d’aller se boire une
bibine à la voiture, les mecs de Tentation sont garés juste à côté de nous
justement ! Et comme on a pas vu de merch alentour, on arrive à leur
prendre quelques T shirt que les mecs avaient dans le coffre. Des gars top,
passionnés. Putain mais pour une fois, exit les hipsters et les poseurs de
merde qu’on croise aux grands events ou même dans plusieurs petits concerts
locaux. Je sais pas toi mais moi ça m’a fait l’effet d’une brise fraîche sur
mes parties génitales par canicule !
Pendant cette petite interlude nous auront
aussi eu la chance de recevoir deux mecs de Finlande qui voulaient s’assoir à
notre table. Il s’avère que c’était deux mecs du groupe Satan’s Fall, programmé
plus tard dans l’après-midi. Des mecs top avec qui nous avons pu discuter de la
scène finlandaise et échanger quelques binouzes.
Au tour de Transilvania, dont on m’avait
beaucoup parlé justement. Second groupe de pur Black du festival et quel groupe !
Je n’avais absolument aucune idée du truc mais les mecs m’ont foutu une belle branlée quand même ! Black bien crasseux tirant énormément sur le
Black/Thrash avec une voix ultra dégueulasse et poisseuse à tel point qu’on se
demande si ce n’est pas Satan lui-même qui nous crache dessus. Franchement les
mecs ont tout compris parce que t’as cette petite mélodie dans le riff
Thrashisant qui fait toujours mouche sans tomber dans le cliché et la hype des
traditionnel groupes à la mode (qui me plaisent aussi cela dit). Quand c’est
aussi bien joué, j’applaudis la performance tel l’Illuminati reptilien devant
un discours de Sylvain Duriff (aaaah quel bonhomme ce Duriff, avec ses attaques
incessantes contre les fakes). Bon en gros, du bien dégueu qui fait plaisir. Je
me rends compte que, du coup, le running order a vraiment bien été calé histoire de
varier les styles et pas se taper tous les trucs de speed/thrash/heavy d’un
seul coup. Franchement ça rend le festival d’autant plus agréable !
Malheureusement, la bibine étant ce qu’elle
est, nous n'avons plus conscience du temps et, de crise de fou rires en
discussion philosophiques sur le Grand Monarque, nous voici dehors à rater Satan’s
Fall. Alors que les mecs étaient quand même super sympa. Quand c’est comme
ça, j’ai tendance à culpabiliser un peu mais bon…l'alcool c’est le mal n’est-il
pas ?
Du coup, séance de rattrapage avec Burstin Out
et leur Black’N Roll poisseux jusqu’au bout. Les mecs t’envoient la pâté (comme
tous les groupes d’aujourd’hui en fait !) à grand coup de poum-tchak
poum-tchak que j’aime tant à la batterie. En fait imagine un croisement entre
les grands Midnight, Motörhead et Venom. Sauf que Venom aurait du se tourner
vers quelque chose de ce genre, beaucoup plus pêchu et moins mou du gland que
ces derniers temps. Enfin, vaste débat… En gros, si t’aimes te démolir la nuque
sur du mid-tempo rapide et du riff bien qui cisaille tes esgourdes, le tout sur fond de voix
arrachée, puant la whisky et la bière, Burstin Out est fait pour toi !
Etant grand fan de Midnight, je ne peux qu’adorer leur Speed/Black de grande
facture ! Le point culminant du concert aura été cette reprise (somme
toute classique me direz-vous mais tellement efficace) de Black Metal des
légendes susnommées. Et mon engouement ira jusqu’à suivre ce bon vieux Alex
Martinez au-devant de la scène à nous bousculer avec moulte hardos houblonnés,
glissant dans la bière renversée et éclatant mon verre sur le crâne de monsieur
Doomovich ! Parfaitement dans l’ambiance du concert et du festival en
lui-même. Ça doit bien faire un an que je ne m’étais pas autant défoulé sur un
groupe et ça fait un bien fou ! Exit les contraintes sociales auxquelles tu
es complètement assujetti, ici, pas de compromis, juste de la bagarre sonore,
et du tabassage de cervicales en règle. Et puis vas-y que le chanteur gueule metal
dans tous les sens et ces solos balancé à l’arrache aaaaaaaaaaaaargh moi ce
genre de truc ça me fout en PLS direct et c’est tellement bon putain ! Ultra
old-school je te disais !
Bon sinon, après cette claque, repos repos, sous l’orage
grondant tel Satan venu soutenir ce festival juste parfait !
Malheureusement, une fois de plus, je me retrouve à boire des coups à droite à
gauche et me voilà en train de louper Ravensire ET Violentor… Je n’en suis pas
tellement fier, mais vu l’ambiance que l’on s’est tapé sur le parking, ça
valait bien le coup aha. Bon et puis, en festival y’a toujours quelques groupes
que l’on rate. Après, étant donné que je n’écris absolument rien d’officiel, j’en
ai rien à carrer. Je pense quand même être beaucoup plus présent que le gogol
de 20 berges bourré au Jagger à 13h au Hellfest qui va juste voir un éternel
Immortal ou Megadeth. Aaaah le metal, son public de branleurs, ses festivals à
la mentalité d’une multinationale, ses groupes prostitués (#Thallium ?)…
Au moins ici, pas de toute cette fange des rebuts de la scène. Juste de la
passion, de la vitesse, du gros son et des VRAIS putaiiiiiiin !!!!! J’insiste,
j’enfonce totalement le clou, mais ça a le mérite d’exister, de voir autant de
gens se bouger le cul et, vu le public, j’ai vraiment l’impression de voir un
documentaire sur le heavy ou le thrash dans les 80 ‘s. De toutes façons c’est
simple : 9 gars sur 10 ont une veste à patch.
Il est temps de se rattraper un peu car il ne reste que
deux groupes. Et ce sont les italiens de Baphomet’s Blood qui prennent la
relève. J’avais pu les voir à La chimère il y a quelques années, organisé par
le défunt Metal Attak avec Ketzer en première partie quand même ! Alors, n’écoutant
pas plus que ça je t’avoues que je ne sais pas trop quoi dire sur le groupe,
juste que c’était, comme chacun des groupes présents aujourd’hui, une claque
monumentale. Du gros Motörhead worship survitaminé à la limite du Black/Thrash
par moment. Putain et des titres annoncés comme Satanic Metal Attack ça vend du
rêve bordel !!!! Bon et puis, t’as quand même le batteur de
Blasphemophagher au micro ici, pas un petit monsieur s’il-vous-plait ! Le
tout pendant près d’une heure et demi…Bien énorme !!!
Et ça ne peut que laisser présager du très bon car ce n’est pas
moins que GEHENNAH….Bordel, oui, Gehennah !!! A ne pas confondre avec les
autres groupes à l'orthographe différente. Ici, il s’agit des Hardrocker qui
aiment excessivement la bagarre. En dehors du fait que je sais à chaque fois
que les groupes programmés par notre couple belge préféré seront sans compromis,
je venais aussi spécialement pour eux. Et pour l’occasion je me fous devant la
scène 20 minutes avant le concert. C'est aussi l'occasion pour David de monter sur scène pour prendre le micro et remercier le public et les groupes, chose qu'il fait à chaque fois et qui, je trouve, à son importance. Il est rare de voir un organisateur prendre ainsi la parole et remercier directement les gens! Des gens adorables je te le dis!!!
Gehennah commence donc, sans surprise mais tellement
énorme, l’arrivée sur Still the elite te fait comprendre que tu vas passer un
sale quart d’heure où chaque tape de caisse claire est un uppercut en pleine
face, chaque riff, un coup de couteau dans le bide et chaque mot dégueulé avec
hargne est un véritable appel à la houblonnade de ton foie ! Putain de
putain de putain de putaiiiiiiiiiiiin mais c’est quoi ce truc de fou en live ???
Déjà j’adorais sur skeud mais là…Bordel LA !!!!! J’ai vite dégagé derrière
tellement c’était bagarre bagarre devant la scène ahaha. En même temps, avec un
groupe qui a les titres les plus rock’n roll au monde (Tonight we fight, Under
the table again, Streetmetal Gangfighters entre autres) faut pas s’attendre à
du post-rock éhé. Rha pis ça fait plaiz de voir des hymnes joués et scandés par
le public comme l’éponyme du dernier album, Six-pack Queen, Under the table
again ou encore 666, drunks & rock’n roll !!! Mais moi je deviens fou
quand j’entends ça !!! Y’a pas, ça ma requinqué un bon coup à une heure où
les neurones commençaient à faiblir un tant soit peu.
Niveau Black Rock’n Roll, j’ai énormément été servi en un an.
Déjà avec Midnight au Méan l’année dernière, et puis ces dates organisé par le
NCMF … Le pire c’est que j’ai l’impression que plus j’en fait, plus j’en
veux. Et même le chanteur de Gehennah, avec son énorme bide à bière, ne me dira
pas le contraire car Gehennah will destroy your life !!!! Y’a pas :
la Rock’n Roll Patrol à vraiment cloturé cette date de manière immensément parfaite. Et regarde-moi ce bassiste glissant dans la bière et finissant la
chanson allongé sur le dos aha.
Franchement, je tiens à dire un IMMENSE merci à David et
Christine que j’adore putaaaaain !!!! Ils nous servent toujours des
groupes géniaux qui envoient la pâté mais d’une force !!!! Et vu le monde
d’hier, ils ont tout de même réussi à gérer de manière parfaite, tant sur les
problèmes de salle qu’il y a eu, la communication, les horaires respectés et
surtout cette programmation juste magistrale. Quand je vois leur stress
constant ce jour-là et les déboires qu’ils ont eu, je ne peux qu’applaudir leur
passion constante et le fait qu’ils ne lâchent rien !!!! Putain juste un
IMMENSE MERCI bordeeeeeeeeeeeeeeel !!!!!! Et c’est pour ça que j’insiste
mais, j’espère que la plupart des gens ont apportés leur contribution à la
cagnotte parce que c’est plus que mérité !!!! Si tu veux pas te retrouver
avec des places à 25 balles, faut soutenir quand tu peux !!!
Maintenant, qu’il va être dur de reprendre ses esprits. Une date
qui est vraiment passée trop trop vit, à l’image de ses groupes en somme. Mais
tellement de bonne humeur et de passion qui transpire du public. Je ne peux que
soutenir ce festival, peut importe le prix outrageusement bas pour une telle
qualité, peut importe la distance, le choix des bières ou de la salle, jamais
je ne lâcherai l’affaire !!!!!
PAS DE COMPROMIS !!!!! SUPPORT OR DIE !!!!!!!!!!!!!!!
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